Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Interreligieux

  • 14-17) Rencontre du 13 novembre 2011

     Au programme de cette rencontre, échange de nouvelles, repas partagé, souvenirs du week-end Pierrefonds, chants et visite de la Grand Mosquée de Paris.

    Rendez-vous

    Dimanche 13 novembre à 12h

    au local des jeunes, 4 rue de l'Oratoire

     

    Apporter de quoi garnir une table (quiches, tartes, salades, gâteaux, boissons…) pour partager le repas. Prévoir aussi un peu d'argent de poche pour la visite de la mosquée.

    Toutes les dates à venir :

    • 11 décembre
    • 15 janvier 2012
    • 12 février
    • 26 février au 4 mars - Camp de Ski
    • 11 mars
    • 1er avril
    • 13 mai
    • 17 juin
     

     

  • EJA) Nuit des veilleurs le 27 juin 2009 à 20h

    Eglise Saint Leu-Saint Gilles
    92 rue Saint Denis, Paris 1er

    Les 4 régions ACAT (Action des chrétiens pour l'abolition de la torture) franciliennes organisent une veillée de prières
    à Saint Leu-Saint Gilles pour la nuit du 27 au 28 juin
    (métro: Etienne Marcel - Les Halles)

    Organisation de la soirée et de la nuit :
    - 20 h à 21 h : Accueil avec temps de dépose de ses propres soucis afin d’être disponible pour la prière pour d’autres.
    - 21 h à 22 h : Temps de célébration avec les représentants des 3 confessions Envoi de la nuit de prière
    - 22 h 00 à 8 h 00 : 20 séquences de prière possibles
    - Vers 2 h du matin: la séquence proposée sera celle des détenus de la Centrale de Poissy.

    Rendez-vous à 19h55 devant l'église Saint Leu-Saint Gilles. Ou rejoignez-nous durant la soirée.

  • Mercredi 21 janvier - Semaine de prière pour l’unité des Chrétiens 2009

    Ce mercredi, nous aurons une soirée un peu particulière. Soyez donc attentifs à ce qui suit.

    Nous nous retrouverons à 19h pour prendre le repas ensemble. Nous n'aurons que 30 minutes. Prévoyez un casse-croûte facile et rapide à manger, sans assiette ni couverts, car nous n'aurons pas le temps de laver la vaisselle.

    Ensuite, à 19h30, nous partirons et nous rendrons à la cathédrale grecque-orthodoxe Saint-Stéphane, pour une célébration œcuménique.

    Ceux qui ne pourront pas nous rejoindre avant 19h30 à l'Oratoire iront directement pour 20h à la cathédrale Saint-Stéphane, 7 rue Georges Bizet 75016 Paris, métro Alma-Marceau ou Iéna.


    À mercredi.

    Nos rendez-vous suivants :
    - dimanche 1er février : rendez-vous mensuel au culte, repas paroissial et rencontre des 14-17
    - EJA) mercredi 4 février : voyage à travers des écrits apocryphes chrétiens
    - EJA) mercredi 4 mars : l'évangélisation
    - dimanche 1er mars : rendez-vous mensuel au culte, repas paroissial
    - 14-17) dimanche 8 mars : rencontre des 14-17

  • Amitié Judéo-chrétienne

    L'amitié judéo-chrétienne organise une conférence,

    le jeudi 21 septembre 2006, à 20 h 30 au temple de l'oratoire du Louvre

    sur le thème

    "Juifs et protestants entre complicité et incompréhension, quel avenir pour nos relations ?"

    Le débat sera animé par Jean-Luc Mouton, directeur du journal Réforme

  • Introduction à l'islam

    L'islam est une religion, chronologiquement le troisième grand courant monothéiste de la famille des religions abrahamiques. Apparu en Arabie au VIIe siècle, il s'ajoute au courant judaïque et au courant chrétien desquels il hérite de nombreux éléments.

    L'islam a un livre sacré, le Coran, qui selon cette croyance, aurait recueilli les révélations de Dieu au prophète Mahomet par le biais de l'Ange Gabriel.

    L'Islam avec I majuscule désigne la civilisation islamique.

    Les symboles du croissant et de l'étoile ne désignent l'Islam (religion plutôt hostile aux symboles) que depuis le XIXe siècle. Ils représentaient l'empire Ottoman qui dominait tous les pays musulmans de la Méditerranée. Les Turcs les auraient eux-même repris aux Byzantins.


    Lieux saints

    Dôme du Rocher à Jérusalem
    Une mosquée de MédineLes principaux lieux saints de l'islam sont :

    La Ka'ba (« le Cube ») de La Mecque (Makkah) en Arabie saoudite. Selon la tradition, il est le premier lieu de culte, bâti par Adam (Adam) sur Terre, puis reconstruit par Ibrahim (Abraham). Jusqu'à l'avènement de l'islam, il était dédié au dieu arabe Hubbal, qui était vénéré par des rites de circonvolution autour de la pierre noire. Tout musulman se doit d'y faire un pèlerinage au moins une fois dans sa vie s'il en a la capacité physique et financière ;
    Médine (Almadinah), ville où émigra Mahomet après s'être enfui de La Mecque, est la deuxième ville sainte de l'islam ;
    Jérusalem (al-Qods), est la troisième ville sainte. C'est l'endroit vers lequel le prophète Mahomet aurait effectué le voyage nocturne et l'ascension.
    Le pèlerinage sunnite n'est admis que vers ces trois villes.

    Pour les Chiites (Chi'ites), Kerbala en Irak est la deuxième ville sainte. Ce fut le lieu du martyre d'Hussein (petit fils du prophète Mahomet et fils de Ali, troisième Imâm , ainsi que ses compagnons, venus à Kerbala pour défendre l'imamât c'est à dire la succession par l'imam Ali gendre du prophète et Hussein son fils (Hassan, son frère ainé ayant été tué). Ce martyre est le mythe fondateur du Chiisme. Tous les ans a lieu la commémoration de ce massacre, à Kerbala ;
    Nadjaf, toujours en Irak, est également une ville sainte pour les chiites.

    Devoirs des Sunnites
    Les cinq Piliers de l'islam constituent des préceptes fondamentaux obligatoires pour tous les sunnites :

    La profession de foi (Chahadah en arabe);
    la prière (Salât);
    la zakat (impôt légal purificateur calculé dans les pays musulmans sur les revenus du foyer et destiné aux pauvres. La zakat ne doit pas être confondu avec les aumônes.) ;
    le jeûne (durant le mois lunaire du Ramadan) ;
    le pèlerinage à la Mecque, au moins une fois dans sa vie pour qui en a les moyens matériels et la capacité physique.
    En outre, le sunnisme interdit la représentation des « choses et personnes saintes ». Plutôt que de parler d'iconoclasme, il faut parler d'aniconisme.

    Les cinq piliers de la religion sont la base sur laquelle le(a) futur(e) sunnite construira sa vie pour se conformer à la révélation.

    La profession de foi doit de préférence être exprimée en arabe, elle se résume en une phrase :

    « Je témoigne qu'il n'y a de (vraie) divinité que Dieu et que Mahomet est son messager »

  • Introduction au judaïsme

    medium_menorah.jpgA la découverte du judaïsme à travers le shabbat et la visite du musée d’art et d’histoire à Paris

    «Le chabbat nous apprend à bâtir le temps, à l’apprivoiser, à nous éviter de le perdre ou d’en être esclave, en le laissant simplement nous dominer». (Abraham J. HESCHEL)

    C’est le repos que les juifs observent du vendredi au coucher du soleil au samedi au coucher du soleil. Ce jour de joie et de recueillement rappelle que Dieu est le maître de la Création et de ses créatures. Pendant le chabbat, l’Homme renonce donc à tous pouvoirs sur le monde et sur les choses, en s’abstenant de travailler et en délaissant son activité quotidienne. Le chabbat se conçoit en regard des six jours de la semaine où l’Homme exerce sa pleine responsabilité.

    Le chabbat constitue dans le judaïsme un moment privilégié au cours duquel chaque individu renoue spirituellement avec la collectivité, de sorte que toute la communauté se ressource à la mémoire vivante d’Israël, renoue l’alliance sacrée avec Dieu.

    …« Le chabbat n’est ni l’échappée d’un dimanche à la campagne, ni un enfermement sous une «chape d’interdits». C’est le temps d’une respiration, d’une introspection revigorante : se recueillir dans le chant des prières, s’adonner à l’étude des textes sacrés, goûter à la vie familiale ressoudée, au plaisir de l’hospitalité, jouir du silence.»… (cf: Siddour Sim Chalom).

    Après une introduction au judaïsme par Florence Taubmann le mercredi 11 janvier, nous avons eu la joie d’assister, le 13 janvier dernier, à l’office du vendredi soir, à la synagogue «Adath shalom» qui signifie littéralement «Assemblée de paix». C’est le nom hébraïque que s’est choisi cette communauté fondée en 1989. Elle est affilée au mouvement massorti, terme qui signifie «traditionaliste». C’est un judaïsme qui se donne pour vocation de concilier tradition et modernité.

    Notre exploration de cette religion s’est poursuivie par la visite du musée d’art et d’histoire du judaïsme à l’Hôtel de Saint-Aignan, au cœur du Marais, consacré à l’histoire des communautés juives de France, d’Occident et d’Afrique du Nord du Moyen Age à nos jours, à leurs traditions (mariage, fêtes,…) et à quelques témoignages.


    Joëlle Lejeune



    Petite synthèse pour ceux qui auraient raté la présentation de Florence mercredi et l'office du shabbat vendredi



    Le shabbat ou sabbat est le jour de repos hebdomadaire (le samedi) pour les pratiquants du judaïsme et certains chrétiens.

    En hébreu, le mot est apparenté au mot "Sept". Il peut être traduit par période de repos.

    La pratique du shabbat a pour origine le récit de la Création du Monde (Genèse), repris dans les Dix Commandements (Exode) : Dieu a créé le monde en six jours et s'est reposé le septième. En commémoration de ce repos, le shabbat est sanctifié (dans le calendrier juif, la semaine commence le dimanche ; le septième jour est donc bel et bien le samedi).

    La Torah, la loi juive, définissant la fin d'un jour à la tombée de la nuit, le shabbat commence donc le vendredi soir et finit à la tombée de la nuit le samedi.

    Le shabbat juif
    "Le septième jour est un Shabbat pour YHWH ton Dieu. Tu ne feras aucun ouvrage, toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes, ni l'étranger qui est dans tes portes." (Exode 20, 10).

    Le Talmud interdit toute activité de travail et recense trente-neuf activités prohibées qui sont adaptées au monde moderne par les Sages (cuisiner, saler les aliments, écrire, éteindre un feu, transporter un objet hors la ville, utiliser l'électricité (si une lumière est allumée, on ne l'éteint pas))....

    Dans le cas où une vie humaine est en danger, les personnes pratiquant le shabbat doivent enfreindre la loi afin de sauver la personne.

    Enfin, certaines activités sont encouragées, notamment les visites à la famille et aux malades, aller à la synagogue, discuter et commenter la Torah, prier.

    Le shabbat est un jour de fête, de réjouissance ; tout jeûne est interdit ce jour-là. L'arrivée du shabbat, le vendredi soir, est comparé à l'arrivée d'une fiancée : toute la synagogue se retourne vers l'entrée pour l'accueillir.

    Si un jeûne, autre que celui de Yom Kippour, tombe un shabbat, ce jeûne est reporté au jeudi précédent, en règle générale. En effet, le shabbat est une fête plus importante que toutes les autres à l'exception de Yom Kippour.

    Le sabbat chrétien
    Il existe certaines églises chrétiennes qui reconnaissent et respectent le sabbat comme les juifs, notamment l'Église Adventiste du Septième Jour, ainsi que certaines religions revivalistes.