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Jeunes Oratoire - Page 39

  • Voilà l'été

    Avec l'arrivée de l'été, le groupe des jeunes de l'oratoire du Louvre prend des vacances. Les activités reprendront en septembre, avec l'assemblée du Désert, le premier week end de septembre.

    Voici le programme jusqu'à la fin de l'année 2006 (susceptible de modifications)

    1er octobre : culte de rentrée, repas et promenade
    4 octobre : lecture biblique avec Werner Burki (et préparation du voyage à Bruxelles)
    15 octobre : culte, après-midi lunch
    20 au 22 octobre : voyage à Bruxelles
    25 octobre : lecture biblique

    5 novembre : culte et repas
    8 novembre : lecture biblique
    19 novembre : culte et après-midi lunch
    22 novembre : lecture biblique

    3 décembre : culte et repas
    6 décembre : lecture biblique
    17 décembre : culte et après-midi lunch

  • Agenda

    Cours de chant du groupe de jeunes sous la direction de Julianna Kovacs 

    Contact : Helena au 01 45 44 73 42 ou Juliette 06 76 29 92 12

  • Introduction à l'islam

    L'islam est une religion, chronologiquement le troisième grand courant monothéiste de la famille des religions abrahamiques. Apparu en Arabie au VIIe siècle, il s'ajoute au courant judaïque et au courant chrétien desquels il hérite de nombreux éléments.

    L'islam a un livre sacré, le Coran, qui selon cette croyance, aurait recueilli les révélations de Dieu au prophète Mahomet par le biais de l'Ange Gabriel.

    L'Islam avec I majuscule désigne la civilisation islamique.

    Les symboles du croissant et de l'étoile ne désignent l'Islam (religion plutôt hostile aux symboles) que depuis le XIXe siècle. Ils représentaient l'empire Ottoman qui dominait tous les pays musulmans de la Méditerranée. Les Turcs les auraient eux-même repris aux Byzantins.


    Lieux saints

    Dôme du Rocher à Jérusalem
    Une mosquée de MédineLes principaux lieux saints de l'islam sont :

    La Ka'ba (« le Cube ») de La Mecque (Makkah) en Arabie saoudite. Selon la tradition, il est le premier lieu de culte, bâti par Adam (Adam) sur Terre, puis reconstruit par Ibrahim (Abraham). Jusqu'à l'avènement de l'islam, il était dédié au dieu arabe Hubbal, qui était vénéré par des rites de circonvolution autour de la pierre noire. Tout musulman se doit d'y faire un pèlerinage au moins une fois dans sa vie s'il en a la capacité physique et financière ;
    Médine (Almadinah), ville où émigra Mahomet après s'être enfui de La Mecque, est la deuxième ville sainte de l'islam ;
    Jérusalem (al-Qods), est la troisième ville sainte. C'est l'endroit vers lequel le prophète Mahomet aurait effectué le voyage nocturne et l'ascension.
    Le pèlerinage sunnite n'est admis que vers ces trois villes.

    Pour les Chiites (Chi'ites), Kerbala en Irak est la deuxième ville sainte. Ce fut le lieu du martyre d'Hussein (petit fils du prophète Mahomet et fils de Ali, troisième Imâm , ainsi que ses compagnons, venus à Kerbala pour défendre l'imamât c'est à dire la succession par l'imam Ali gendre du prophète et Hussein son fils (Hassan, son frère ainé ayant été tué). Ce martyre est le mythe fondateur du Chiisme. Tous les ans a lieu la commémoration de ce massacre, à Kerbala ;
    Nadjaf, toujours en Irak, est également une ville sainte pour les chiites.

    Devoirs des Sunnites
    Les cinq Piliers de l'islam constituent des préceptes fondamentaux obligatoires pour tous les sunnites :

    La profession de foi (Chahadah en arabe);
    la prière (Salât);
    la zakat (impôt légal purificateur calculé dans les pays musulmans sur les revenus du foyer et destiné aux pauvres. La zakat ne doit pas être confondu avec les aumônes.) ;
    le jeûne (durant le mois lunaire du Ramadan) ;
    le pèlerinage à la Mecque, au moins une fois dans sa vie pour qui en a les moyens matériels et la capacité physique.
    En outre, le sunnisme interdit la représentation des « choses et personnes saintes ». Plutôt que de parler d'iconoclasme, il faut parler d'aniconisme.

    Les cinq piliers de la religion sont la base sur laquelle le(a) futur(e) sunnite construira sa vie pour se conformer à la révélation.

    La profession de foi doit de préférence être exprimée en arabe, elle se résume en une phrase :

    « Je témoigne qu'il n'y a de (vraie) divinité que Dieu et que Mahomet est son messager »

  • Introduction au judaïsme

    medium_menorah.jpgA la découverte du judaïsme à travers le shabbat et la visite du musée d’art et d’histoire à Paris

    «Le chabbat nous apprend à bâtir le temps, à l’apprivoiser, à nous éviter de le perdre ou d’en être esclave, en le laissant simplement nous dominer». (Abraham J. HESCHEL)

    C’est le repos que les juifs observent du vendredi au coucher du soleil au samedi au coucher du soleil. Ce jour de joie et de recueillement rappelle que Dieu est le maître de la Création et de ses créatures. Pendant le chabbat, l’Homme renonce donc à tous pouvoirs sur le monde et sur les choses, en s’abstenant de travailler et en délaissant son activité quotidienne. Le chabbat se conçoit en regard des six jours de la semaine où l’Homme exerce sa pleine responsabilité.

    Le chabbat constitue dans le judaïsme un moment privilégié au cours duquel chaque individu renoue spirituellement avec la collectivité, de sorte que toute la communauté se ressource à la mémoire vivante d’Israël, renoue l’alliance sacrée avec Dieu.

    …« Le chabbat n’est ni l’échappée d’un dimanche à la campagne, ni un enfermement sous une «chape d’interdits». C’est le temps d’une respiration, d’une introspection revigorante : se recueillir dans le chant des prières, s’adonner à l’étude des textes sacrés, goûter à la vie familiale ressoudée, au plaisir de l’hospitalité, jouir du silence.»… (cf: Siddour Sim Chalom).

    Après une introduction au judaïsme par Florence Taubmann le mercredi 11 janvier, nous avons eu la joie d’assister, le 13 janvier dernier, à l’office du vendredi soir, à la synagogue «Adath shalom» qui signifie littéralement «Assemblée de paix». C’est le nom hébraïque que s’est choisi cette communauté fondée en 1989. Elle est affilée au mouvement massorti, terme qui signifie «traditionaliste». C’est un judaïsme qui se donne pour vocation de concilier tradition et modernité.

    Notre exploration de cette religion s’est poursuivie par la visite du musée d’art et d’histoire du judaïsme à l’Hôtel de Saint-Aignan, au cœur du Marais, consacré à l’histoire des communautés juives de France, d’Occident et d’Afrique du Nord du Moyen Age à nos jours, à leurs traditions (mariage, fêtes,…) et à quelques témoignages.


    Joëlle Lejeune



    Petite synthèse pour ceux qui auraient raté la présentation de Florence mercredi et l'office du shabbat vendredi



    Le shabbat ou sabbat est le jour de repos hebdomadaire (le samedi) pour les pratiquants du judaïsme et certains chrétiens.

    En hébreu, le mot est apparenté au mot "Sept". Il peut être traduit par période de repos.

    La pratique du shabbat a pour origine le récit de la Création du Monde (Genèse), repris dans les Dix Commandements (Exode) : Dieu a créé le monde en six jours et s'est reposé le septième. En commémoration de ce repos, le shabbat est sanctifié (dans le calendrier juif, la semaine commence le dimanche ; le septième jour est donc bel et bien le samedi).

    La Torah, la loi juive, définissant la fin d'un jour à la tombée de la nuit, le shabbat commence donc le vendredi soir et finit à la tombée de la nuit le samedi.

    Le shabbat juif
    "Le septième jour est un Shabbat pour YHWH ton Dieu. Tu ne feras aucun ouvrage, toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni tes bêtes, ni l'étranger qui est dans tes portes." (Exode 20, 10).

    Le Talmud interdit toute activité de travail et recense trente-neuf activités prohibées qui sont adaptées au monde moderne par les Sages (cuisiner, saler les aliments, écrire, éteindre un feu, transporter un objet hors la ville, utiliser l'électricité (si une lumière est allumée, on ne l'éteint pas))....

    Dans le cas où une vie humaine est en danger, les personnes pratiquant le shabbat doivent enfreindre la loi afin de sauver la personne.

    Enfin, certaines activités sont encouragées, notamment les visites à la famille et aux malades, aller à la synagogue, discuter et commenter la Torah, prier.

    Le shabbat est un jour de fête, de réjouissance ; tout jeûne est interdit ce jour-là. L'arrivée du shabbat, le vendredi soir, est comparé à l'arrivée d'une fiancée : toute la synagogue se retourne vers l'entrée pour l'accueillir.

    Si un jeûne, autre que celui de Yom Kippour, tombe un shabbat, ce jeûne est reporté au jeudi précédent, en règle générale. En effet, le shabbat est une fête plus importante que toutes les autres à l'exception de Yom Kippour.

    Le sabbat chrétien
    Il existe certaines églises chrétiennes qui reconnaissent et respectent le sabbat comme les juifs, notamment l'Église Adventiste du Septième Jour, ainsi que certaines religions revivalistes.

  • Qui sommes-nous ?

    Le groupe de jeunes de la paroisse réformée de l'Oratoire du Louvre réunit les jeunes de 18 à 35 ans qui souhaitent se retrouver pour des sorties, des rencontres, lors des cultes...
    Il est animé par :

    Helena Koning
    Juliette Lauverjat
    Alexis Rotsetis

    Les réunions ont lieu à la maison presbytérale, 4 rue de l'Oratoire, 75001 Paris.

    jeunesdeloratoire@hotmail.fr

    Principes du groupe de jeunes de l’Oratoire du Louvre

    Le groupe de jeunes de l’Oratoire a pour volonté le bien-être des jeunes, personnellement, dans le groupe et dans l’église. Nous souhaitons par différentes actions soutenir les jeunes dans leur vie quotidienne, leur vie spirituelle et leurs liens avec les autres. Nous avons l’exigence de la transparence dans nos actions pour retrouver une pureté originelle et favoriser notre rayonnement et celui de l’Eglise.
    Pour atteindre ces buts, nous avons défini cinq grands principes d’action renouant avec les bases du protestantisme et nous dirigeant vers l’avenir.

    Ces principes sont :
    l’étude de textes et la réflexion : destinés à retrouver l’un des grands principes fondateurs du protestantisme. La lecture de la Bible et des textes qui touchent au divin. Cela entraîne une réflexion spirituelle et un approfondissement des connaissances vers le renforcement de la foi. Ceci peut prendre la forme d’études bibliques régulières, de participation au culte ou de lectures quotidiennes.

    la musique : sa pratique régulière est pour nous une possibilité de soutenir notre prière et de cheminer vers le sacré. Cela se traduit par l’apprentissage des techniques vocales, le chant des cantiques et des psaumes de la réforme. Ce temps musical régulier est l’occasion d’une communion fraternelle par la musique.

    le dialogue direct avec Dieu : c’est également l’un des piliers du protestantisme. Ce dialogue est parfois difficile et nécessite pour certains un soutien. Il est également souvent délicat à partager avec les autres. C’est pourquoi nous souhaitons offrir à la fois un espace de dialogue et la possibilité d’approfondir ces dialogues avec le divin. Nous proposons pour cela, outre le temps du culte, d’avoir des temps de prière communs et de s’ouvrir à d’autres techniques comme la méditation. Il nous paraît également important d’avoir la possibilité d’effectuer occasionnellement un temps de retraite.

    les rapports fraternels : ils concernent la place que nous voulons prendre dans la communauté et la tentative de sagesse que nous voulons avoir dans nos rapports. La transmission des valeurs, telles que le respect, la charité, l’amour, l’humilité est l’un des rôles de l’Eglise et peut-être encore plus aujourd’hui. Ainsi, nous voulons que notre groupe donne la possibilité à chacun d’appréhender la vie communautaire dans la confiance vers le développement de ces valeurs. Pour atteindre cet épanouissement, nous désirons que chacun ait sa place, puisse donner et recevoir à tour de rôle. Dans ce cadre, il nous semble important de participer à la vie de la paroisse et à l’organisation des activités. Il nous paraît également important de transmettre des techniques de communication qui ne font pas partie de l’éducation traditionnelle (communication non-violente, Analyse transactionnelle, jeux de rôles…)


    le dialogue œcuménique : il est pour nous essentiel dans le monde actuel, si concerné par les religions et leur extrémisme. L’ouverture, la compréhension et la connaissance des religions apporte un respect et une estime profonde pour les autres. La phrase « Il y a plusieurs maisons dans la demeure de mon Père », Jean 14, est pour nous un principe essentiel. Concrètement, nous rencontrons régulièrement des membres d’autres communautés qui nous expliquent les fondements de leur religion et leur pratique cultuelle, à laquelle nous assistons parfois.

    Ces principes sont appliqués dans le respect et l’amour de chacun qui souhaite se sentir accueilli parmi nous.

  • Voyage à Marseille



    Le groupe s'est rendu à Marseille avec le pasteur Werner Burki fin novembre.

    « Homme libre toujours tu chériras la mer »… pour des protestants amoureux de liberté et de nature, la découverte de Marseille a été un formidable voyage. Onze jeunes étaient réunis autour du pasteur Werner Burki pour aller à la découverte de sa ville.
    Le voyage a débuté à la gare de Lyon pour les participants se connaissant peu ou prou, le vendredi 21 octobre. Après un trajet éclair, pendant lequel le groupe a buté sur les mots croisés de « La Voix Protestante », nous avons été accueillis chaleureusement à la gare de Marseille par un ami de Werner, puis par quelques membres de la paroisse de la rue Grignan à notre arrivée au Presbytère. Le temps libre qui a suivi nous a permis d’avoir un premier aperçu de la ville et de dénicher un agréable restaurant pour un dîner sympathique sur le Vieux Port.
    Au mémorial des protestants
    Samedi matin, après un bon petit déjeuner, notre chemin nous a menés vers le mythique marché aux poissons aux accents truculents, avant de sauter dans un petit train pour rejoindre Notre-Dame de la Garde. Du sommet de la colline, un grand soleil livrait à nos regards la ville aux chaudes couleurs méditerranéennes. Nous fûmes accueillis par le père Levet, auteur d’un livre sur les bastions de Notre-Dame de la Garde, qui s’est fait un plaisir de nous livrer les secrets de la Bonne Mère. Nous avons même eu le privilège de pénétrer dans le chœur qui est habituellement interdit au public. Les ex-voto (beaucoup de bateaux et même un canadair !) ainsi que les mosaïques d’inspiration byzantine nous ont particulièrement intéressés.
    Mais l’appel de la mer se faisait de plus en plus fort. L’après-midi, nous avons donc embarqué pour les îles au large de Marseille. Le château d’If, avec son mémorial en hommage aux 3500 protestants qui y ont péri et ses cachots aux prisonniers célèbres, réels ou imaginaires, nous a fascinés. Le panorama du haut des tours nous a dévoilé la ville éclairée de grands rayons de soleil, comme sortie d’un tableau.

    Débat au Lazaret

    La traversée jusqu’aux îles du Frioul fut épique et… humide, les téméraires de la proue ayant été trempés par les embruns ! Une fois débarqués, une belle et longue balade nous a menés jusqu’au Lazaret, ancien hôpital pour la mise en quarantaine. La chapelle aux allures de temple grec en ruine, nous a accueillis pour une lecture biblique suivie d’une discussion animée de questions. Et les ruines du Lazaret ont retenti des paroles de « Frappez dans vos mains » et de « Confie à Dieu ta route ». Pour le retour à l’embarcadère, Werner nous a entraînés dans de sinueux chemins de douaniers faisant face à la Côte Bleue. Arrivés à Marseille, pour terminer cette journée sportive et conviviale. France nous a invités à prendre l’apéritif sur le port. Puis nous avons dîné en terrasse tous ensemble. Une fois la nuit tombée et le marchand de sable aidant, une partie du groupe a repris le chemin du Presbytère où, finalement, la discussion s’acheva tard dans la nuit… Les noctambules ont, eux, suivi notre guide et pasteur pour une escapade dans les ruelles du quartier du Panier. Nous avons découvert qu’il connaissait tous les chats nocturnes de la ville !

    Le culte à Grignan

    Au soleil radieux du samedi a succédé une pluie battante le dimanche matin, trempant jusqu’à la moëlle les deux téméraires sortis chercher les croissants du petit déjeuner. Afin de faire connaissance avec la communauté réformée de Marseille- Grignan, nous avons assisté au culte qui était célébré par le pasteur Vodaux. Une paroissienne courageuse, la grève des transports l’ayant obligée à faire plus d’une heure de marche pour nous rejoindre, nous y a accueillis : la charmante mère de Werner.
    Après le culte et le retour du soleil, les amateurs d’art ont admiré avec Juliette les œuvres du XXème siècle conservées au musée Cantini alors que les inconditionnels de la carte postale écumaient les magasins de souvenirs. Pour nous emmener déjeuner, un paroissien, Farid Djilani-Sergy, nous a fait traverser le quartier de Noailles, dont la rue longue des Capucins très animée rappelle les souks d’Afrique du Nord. Diane a pris congé de nous à la fin du repas, les études n’attendent pas !
    Le reste du groupe a, quant à lui, cheminé vers la basilique Saint-Victor après un arrêt pour goûter aux « navettes », petits gâteaux à la fleur d’oranger, spécialité de Marseille. A Saint-Victor, une des plus vieilles églises de France, Anne-Cécile nous a fait partager son savoir sur l’art paléochrétien avec une visite commentée de la crypte. Avant de repartir à Paris, nous avons pris un dernier bain de soleil en arpentant la Corniche.

    La découverte d’un groupe

    L’apothéose fut de siroter un frais breuvage sous un portrait géant d’une des stars de la ville : le footballeur Zinédine Zidane ! Les troupes, traînant les pieds (on est si bien à Marseille !) ont regagné le presbytère pour récupérer les bagages et repartir à la gare Saint- Charles, après un dernier cantique chanté comme un remerciement pour les bons moments partagés. Le voyage s’est achevé dans la bonne humeur générale, les blagues fusant et les éclats de rire « animant » le wagon, ont été les garants de la réussite du voyage, même si certains dont nous tairons le prénom, se sont effondrés dans les bras de Morphée.
    Le bilan de ce week-end marseillais, aux allures de vacances, est donc largement positif : il a permis à chacun de s’ouvrir, de découvrir l’autre et d’échanger. Un groupe joyeux et chaleureux s’est formé. Tous les grands chefs, chefs et sous-chefs s’en réjouissent et lui souhaitent longue vie ! La découverte d’une ville a favorisé celle d’un groupe… avec ses qualités, sa chaleur, ses métissages, ses secrets et ses lumières, dans lequel chacun a pu garder son indépendance et discuter librement.
    Nous tenons à remercier le conseil presbytéral et l’ensemble de la paroisse pour ses encouragements. Nous avons une pensée fraternelle pour la paroisse de la rue Grignan à Marseille et pour son accueil chaleureux : un grand merci pour la gracieuse mise à disposition des locaux.. Un immense merci au pasteur Burki pour tout ce qu’il a nous apporté durant ce voyage. Comme dirait Zidane, à Marseille, on est … BIEN !
    H.K., J.L. et A.R.